dimanche 12 février 2017

Quelle société voulons-nous faire ensemble ?

Ce qui est simple a été rendu compliqué
Ce qui est complexe a été réduit, peau de chagrin
C'est ainsi que les hommes ne savent plus penser
S'abandonnant aux penseurs spécialistes et professionnels !
Et voici qu'ils vous volent jusqu votre matière grise.

Un bon moyen pour relancer la machine : le dialogue
Donner son avis, écouter celui d'autrui
Ainsi je vous propose d'échanger sur un sujet d'actualité
Le revenu universel
Pas ici, sur un blog ami qui se réserve aux échanges.

Le revenu universel est au cœur du débat
Quelle société voulons-nous faire ensemble ?
Savons-nous ce que nous voulons ?
Échangeons si vous le voulez bien
 

8 commentaires:

  1. Des pistes, des informations et échanger :

    https://youtu.be/-cwdVDcm-Z0

    https://youtu.be/oyYzeJ_Pf6o

    http://lejournalduveilleur.unblog.fr/2017/02/09/revenu-universel/

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  2. Le dialogue est impossible avec des gens qui n'écoutent pas vraiment et nous mentent... mais c'est vrai qu'on peut toujours espérer que la Révolution ne sera pas nécessaire pour que tout reprenne sa juste place.

    J'ai un peu tendance à penser que ce revenu universel est impossible à réaliser... et que s'il existe, il faudra vraiment revaloriser le travail pour qu'on ait envie d'exercer certains métiers trop mal payés.

    Mais bon, merci pour les liens donnés...
    Bises et douce journée.

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  3. Ce qui est impossible c'est ce que nous avons dit "impossible". :)
    Belle journée à toi Quichottine

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  4. Le vivre ensemble cela se pense, se « calcule ». Ainsi est né le capitalisme ou libéralisme qui régit nos sociétés dites modernes. Les grands bourgeois, les détenteurs des biens immobiliers mais aussi et surtout des biens de productions ne se sont pas privés de penser la société de consommation.
    Et nous si nombreux, bien plus nombreux qu'eux qu'en pensons-nous ? Je ne parle pas de réactions, d'émotions, mais bien d'une pensée qui se construit, qui analyse, qui débusque les réactions, les émotions.
    Réfléchir à un revenu de base, non pas dire si cela est possible ou pas, mais voir en échangeant avec des pairs ce que j'en pense, ce que cela remet en cause, ce que cela suppose comme nouvelles valeurs, voilà ce que je propose comme sujet de discussion. Alors si nous le voulons vraiment, si nous sommes assez nombreux pour le « penser », alors cela sera possible parce qu'alors nous aurons « imaginer » un autre mode de vivre ensemble.

    Un revenu de base pour tous, j'étais contre : on doit travailler pour vivre (c'est à ça que j'ai été conditionnée). La question du travail liée au revenu (argent nécessaire dans nos sociétés pour vivre) se présente donc. Qu'est que le travail, qu'est-ce que le revenu, les deux sont-ils liés et comment le sont-ils ? C'est un début de piste, j'explorerai avec vous toutes celles que vous voudrez bien proposer ici : http://lejournalduveilleur.unblog.fr/2017/02/09/revenu-universel/comment-page-1/#comment-720

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  5. Un revenu de base à 5208,33 € par mois... ça fait rêver. :)
    Mais sommes-nous vraiment là pour rêver ?
    On avait calculé ce que devrait toucher une mère au foyer... Son "travail" est bénévole et pourtant utile à tous.

    Je suis pour un revenu minimum qui serait subordonné à un "travail" de quelques heures pour la société, pas pour un revenu donné sans rien avoir à faire en retour.

    Je suis pour un revenu minimum étudiant, dépendant des résultats obtenus, pour ne pas que ceux qui le perçoivent ne fassent plus rien. C'est tellement facile de ne rien faire !
    Les bourses sont insuffisantes, j'en suis persuadée, et trop d'étudiants doivent travailler en plus de leurs études pour pouvoir les faire.

    Je ne suis pas contre la richesse obtenue grâce au travail, contre ceux qui entreprennent et bâtissent leur fortune à force de persévérance et choix de vie. Je suis contre l'héritage.

    Je suis contre l'assistanat à tout prix. On ne devrait "assister" que ceux qui sont dans l'impossibilité totale de travailler.

    Lorsque je parle de choix de vie, je parle aussi de ceux qui dilapident ce qu'ils perçoivent et se plaignent ensuite de ne rien avoir... rouler en voiture de luxe et habiter dans un petit appartement en location est un choix de vie, se priver de tout pour s'acheter sa résidence principale en est un autre, chacun est libre de ses choix. Mais je refuse qu'on s'en prenne aux "fourmis" pour pouvoir nourrir les cigales...

    Je trouve anormal que ceux qui travaillent se voient spoliés par ceux qui en tirent vraiment profit. Je trouve que l'on devrait limiter le revenu des actionnaires pour que ceux qui font la richesse des entreprises soient mieux rémunérés. Je suis contre les salaires pharaoniques donnés à certains alors que le revenu des autres laisse à désirer.

    Je suis pour une fourchette de salaires moins étendue... Mais je continue à penser que ceux qui se sont donné du mal pour arriver au poste qu'ils occupent doivent en être récompensés. Le même salaire pour tous est pour moi impensable. Celui qui a fait onze années d'études pour être médecin ne peut pas avoir le salaire d'un ouvrier qui entre dans la vie active à 16 ans.

    Pour ce qui est de nos représentants en politique, je trouve qu'il devrait y avoir un salaire horaire et une pointeuse sur leurs lieux de travail, des fiches à faire signer à ceux qu'ils rencontrent... preuve qu'ils ont bien accompli leurs devoirs. (Mais là, je suis sûre que personne ne me suivra... et qu'il n'y aurait plus personne à se présenter aux élections.)

    Voilà... bien sûr il y a beaucoup à dire sur le sujet. Je vais m'arrêter là.

    Passe une bonne journée, Miche.

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  6. Lol, Quichottine "je suis Pénélope je soutiens le revenu universel pour tous à 5208.33 E par mois" ça ne te dit rien ?
    Clin d'oeil à Pénélope Fillon.

    N'aimerais-tu pas poster ta réponse ici ? http://lejournalduveilleur.unblog.fr/2017/02/09/revenu-universel/

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  7. J'étais allée lire là-bas... d'où ce clin d'oeil précédent.

    En fait, 5208,33 € pour un salaire de mère au foyer, cela ne me choque pas. Même si j'aurais aimé le percevoir pendant les quinze années que j'ai passées à m'occuper de mes enfants, ce qui nuit à ma propre retraite aujourd'hui... A l'époque il fallait choisir entre avoir une famille nombreuse ou faire carrière, les deux étant impossible à moins d'être cadre supérieur, ce que je n'étais pas. :))

    Et non, je ne posterai pas ma réponse là-bas.
    Ce commentaire t'es adressé, à toi. :)

    Bises et douce journée.

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