dimanche 14 janvier 2018

"Avec", ce n'est pas contre !

Si nous avions travaillé avec la nature
Nous n'en serions pas là !
Mais tout devait être soumis
L'enfant, la femme, le soldat
L'arbre, la forêt, les océans
Le loup !


Maintenant ?
     Respirer...


Ils ont voulu nous faire croire
Qu'il y avait quelque chose de plus important
Que de respirer...


Mais il n'y a rien de plus important.

Respire mon ami(e), respire... 



                                           Internet

3 commentaires:

  1. Prière iroquoise



    Nous rendons grâces à notre mère, la terre, qui nous soutient. Nous rendons grâces aux rivières et aux ruisseaux qui nous donnent l'eau. Nous rendons grâces à toutes les plantes qui nous donnent les remèdes contre nos maladies. Nous rendons grâces au maïs et à ses sœurs les fèves et les courges, qui nous donnent la vie. Nous rendons grâces aux haies et aux arbres qui nous donnent leurs fruits. Nous rendons grâces au vent qui remue l'air et chasse les maladies. Nous rendons grâces à la lune et aux étoiles qui nous ont donné leur clarté après le départ du soleil. Nous rendons grâces à notre grand-père Hé-No, pour avoir protégé ses petits enfants des sorcières et des reptiles, et nous avoir donné sa pluie. Nous rendons grâces au soleil qui a regardé la terre d'un œil bienfaisant. Enfin, nous rendons grâces au Grand Esprit en qui s'incarne toute bonté et qui mène toutes choses pour le bien de ses enfants.

    « Nos mœurs sont différentes des vôtres. La rue de vos villes fait mal aux yeux de l'homme rouge. Mais peut-être est-ce parce que l'homme rouge est un sauvage et ne comprend pas.

    Il n'y a pas d'endroit paisible dans les villes de l'homme blanc. Pas d'endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps ou le froissement d'aile d'un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas.

    Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Quel intérêt y a-t-il à vivre si l'homme ne peut entendre le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d'un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et je ne comprends pas.

    L'Indien préfère le son doux du vent s'élançant comme une flèche à la surface d'un étang, et l'odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon. L'air est précieux à l'homme rouge car toutes choses partagent le même souffle : la bête, l'arbre, l'homme, tous partagent le même souffle. »



    Attribué au chef Seattle (1786-1866)

    RépondreSupprimer
  2. Je respire, ce qui est déjà bien mais de plus en plus mal.

    RépondreSupprimer
  3. Ahhhh, je te souhaite de trouver la respiration intérieure qui elle jamais ne manque !!!

    RépondreSupprimer

Merci de vos commentaires