Les
eaux des océans se parent de la couleur du ciel, jusqu’à en
paraître sales, et pourtant leur nature n’a pas changé.
Que
le ciel vacuité soit présent, ouvert sur l’infinité, et les
vagues se font cristallines, et pourtant rien n’a véritablement
changé.
Mais
dans ce ciel, de la première nuit, gris acier, si intense de
froideur métallique, cela s’ouvre en deux pour que le monde soit.
Olli Kekäläine
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