L'Art de Rêver

Nous sommes contraints par le conditionnement à subir

Et la naissance et la mort

Nous sommes contraints à utiliser notre potentiel imaginaire 

Pour une fuite hors des conditions de nos vies.

Nous avons renoncé, nous condamnons même l'idée 

Que l'art de rêver c'est agir quasiment directement sur ces conditions

Les changer profondément en nous 

Changeant tout aussi profondément. 

 

Plus de travail forcé, plus de maladie, plus d'empêchements à réaliser

Nous n'osons même pas penser que cela soit possible.

Cet autre disait :

"On ne peut pas retourner en arrière, on ne peut pas changer le passé"

Sous-entendu tout est écrit.

Qui parle de retour ? 

Le passé n'est pas plus que l'avenir un point fixe

L'un et l'autre ne cessent de se créer

Avec ou non, notre collaboration active.

Déjà publié ici

Ce chemin de rêver

 
Ne laisse pas le doute s’immiscer
S'il n'y a d'autre choix que celui de l'interprétation
Laisse-la se faire en fonction de ce qui est le plus beau
Le meilleur en toi.
 
Connais-tu encore ce chemin ?
Il fleurit au cœur du désert.
 
Non, cela n'est pas mensonge
Le non-sens est mensonge.
 
Sans effort le corps chante
L'esprit s'enchante, sensible
A l'écoute, disponible.
 
Ce chant est amour
Ni besoin, ni manque
Les énergies circulent.
 
L'ami, l'éternel ami est toujours-là pour boire à la coupe
Et voilà ta musique en moi
Un fluide pénètre toutes les cellules du corps.
 

A la façon du papillon

 

Puisqu'il faut rêver, rêvons !

Mais à la façon du papillon
Esquisses légères.

La puissance de la vision

 

Ces hommes de pouvoir et leurs sbires

Nul doute que nos gouvernements sont à leur service

Assidûment, à récolter les miettes du gâteau

Profiteurs de tous les malheurs

Souvenez-vous du marché noir durant la dernière guerre dite mondiale

Et encore de ces bons français qui ont dénoncé leurs voisins juifs

Souvenez-vous de ces gens plein de haine 

Qui se sont engagés du côté des plus ignobles des criminels

Des fous, tous des fous !

Ces hommes de pouvoir en haut de la pyramide, une poignée seulement

Sont forts parce qu'ils ont une vision du monde, ils savent ce qu'ils font !

Si nous, en nombre suffisant, nous ne nourrissons pas une autre vision du monde

Si nous n'entrons pas dans une nouvelle relation à notre monde

Nous sommes foutus !

Comment pourrions-nous avoir la vision d'un monde 

D'hommes respectueux de la vie sous toutes ses formes

Dans un partage en conscience et en actes

Si nous restons dans nos a-priori, nos rejets de l'étranger

La peur de l'immigrant ?

Chacun pour sa gueule ! 

Mais nous sommes tous des frères et sœurs ! 

Que ne le savons-nous pas encore ? 

C'est bien ce grave manquement, notre, qui fait la force des hommes de pouvoir.

Il nous faut donc savoir ce que nous faisons

Dire clairement NON à leur vision, et produire la notre

C'est bien de l'art de rêver dont il s'agit. 

Déjà publié ici 

Le corps énergétique

 

Les corps de rêve

Non, pas ces corps vendus dans les magazines !

Le corps de rêve

Celui dans lequel le rêveur se déplace

Dans toutes les directions

Rencontre et se marie.

Niveau de conscience

Intensité

Parfum si particulier

Vibration. 

Déjà publié ici

"Art de rêver"

Ce n'est pas ce cri que l'on pousse à l’extrême limite

Cela ne vient ni interroger, ni remettre en cause

Ce n'est pas non plus l'accomplissement d'un long travail

Ni une inspiration.

Aucune conférence ne saurait être faite sur le sujet

Ni commentaire, ni critique, ni jugement

Ce n'est pas une méthode

Ce n'est pas transmissible.

Œuvre du créateur.

Le créateur est unique

Ne saurait être imité

Enfin si, c'est le drame

Il y a imitation donc perversion.

Déjà publié ici

Par la puissance de l'art de rêver

 

Parce qu'est-ce que l'amour

Si ce n'est rêver ?

Un rêve éveillé

Porté au-delà de soi

En soi

Franchissant tous les obstacles.

 

Car comment aimer sans Voir

Son orgueil rabaissé ?

Merci Anonyme 

Anonyme : L'amour ne rabaisse pas l'orgueil, il le pulvérise.

Miche : Eclat de rire, oui !

De l'art de rêver

Dans les conditions du mental rétréci par la peur
L’art de rêver est sacrifié
Ne reste que les rêves de compensation 
Qui dans le sommeil viennent réparer 
Autant que cela se peut le tissu des cerveaux atrophiés
Cela vous fait tout aussi bien des cauchemars. 

Parfois, et c’est encore assez rare, l’imagination tente l’échappée belle
Mais ce n’est qu’un pis aller, une soupape de sécurité
On part en vacances et puis il faut rentrer, retrouver tout comme on l’a laissé ! 

La puissance créatrice de l’art de rêver ce n’est pas cela. 

Merci Quichottine

Quichottine : Nous essayons de gommer ce qui nous blesse ou nous effraie, mais le réel rattrape toujours les rêveurs, quels qu'ils soient.

Miche : L'art de rêver n'essaye pas de gommer ce qui nous blesse ou nous effraie, c'est toute la différence ! 

La grande ourse 

L'art de rêver et c'est créer !

 

Mais... pas de chance pour le consensus

Pas de chance pour le système des pouvoirs

Pour les capitalismes de toutes les bourses

      Tout acte révolutionnaire

C'est à dire qui est produit hors la grappe

C'est à dire qui est produit par la conscience

C'est à dire qui ni se regrette, ni se revendique

Tout acte véritablement révolutionnaire donc

Solitaire

Crée un précédent

Une glissière dans la masse

Une trace, une piste

Sur laquelle ne tardent pas à marcher de nouveaux chercheurs.

Déjà publié ici

Merci 

Au-delà …

 

Le rêve ne nous appartient pas
Même si sans cesse, nous tendons la main
Revendiquant notre droit à…
 
Au-delà, de notre volonté
Au-delà, de la volonté du père
Se lève, le premier matin
Avant l’égarement.

Pierre Auguste Renoir

Regarde !

 
Plus le rêve est beau
Plus il est loin de la réalité
Cette représentation 

En définitions et comparaisons
En espoirs et en regrets.

Le rêve est libre.

Regarde !

Je n’attrape rien dans mes filets
Oui, regarde comme c’est bien
Tout a filé...

Océans 

De ce que nous avons oublié...

 

Lui, l'aïeul, avait dit à l'adolescente que j'étais :

 « Tu sais dans ma tête j'étais toujours jeune ». 

D'un coup, il avait pris conscience que vieux il était

Il fût bien malheureux !

Elle, sa fille, ma mère, me dit : 

« C'est comme si rien n'avait existé,

 comme si j'avais toujours vécu comme ça, sans lui »

Elle parlait de la mort de son homme, survenue au grand âge.

Quand je vous le dis que tout est rêve

Un rêve que nous prenons pour réalité ! 

Et encore traiter le rêve comme un sous-produit. 

Rêveurs nous sommes, et l'avons oublié

Et ne savons plus ce qu'est l'art de rêver

Pris dans les mailles d'un filet 

Que nous créons, pourtant !

Déjà ici 

Dubai 

De l'art de rêver

 

– Ah, ça ! Ce n'est pas le sens attendu !

– Ben je sais bien, on préfère croire au père noël, mais ça vous fait aussi des pères fouettards. Ça vous fait des moments euphoriques, et de sales quarts-d 'heure de profonde désespérance, et encore l'ignorance que les deux états sont en même temps, fondements de la psyché humaine.

N'est-il pas temps de Voir que le sens, la direction, est une affaire qui nous concerne directement, que tout est mental, de la matière la plus dense à la plus éthérée ? Comme la main pétrit la glaise, nous pétrissons une forme rêvée qui appartient à tous les temps, et par notre intention prend forme sous nos pas...

L'intention est bien plus que ma volonté

Ce n'est pas non plus l'intention du Père

L'intention est la flèche 

Celle que l'Être décoche 

Alors qu'elle et son bras et la cible ne font qu'un.

Ici

Marie Vandendorpe

Sans bruit...

 

Dans l'état de complétude

Aucun besoin

De sortir, d'aller là-bas

De tisser des liens

Tout est là à sa juste place

Tout a toujours été là

Tout sera toujours là.

La porte s'ouvre

Sans bruit

Celle que le rêveur franchit

Lucide, tranquille

Il n'est pas ailleurs

Il n'est pas ici

Il est partout.

Déjà publié ici

Bruno Catalano.

Corps de rêve

 

Corps de rêve

S'il s'ouvre une porte

C'est que le rêveur se voit

Entrer dans cette dimension

Et qu'un niveau de réalité

Pénètre un autre niveau.

Certains gestes précis, reconnaissables

Familiers

Comme des clefs

Puis,

Tout autre...

Déjà publié ici 

Justin Estcourt

Il ne saurait ni aimer, ni ne pas aimer, ce n'est pas son propos.

 

Les histoires humaines ne cessent de nouer des nœuds

Transgénérationnels

C'est au-delà, au-travers, que "le rêveur " dénoue ces nœuds

Il n'est plus impliqué au niveau de la survie

Il gère ses émotions.

Il ne saurait ni aimer, ni ne pas aimer

Ce n'est pas son propos.

La souffrance il en décide pour la prendre en charge

Il connaît ses limites, lui qui sait ne pas en avoir

Responsabilité.

Comment fait-il cela ?

Cette question n'a pas de sens

Il fait.

Déjà publié ici 

Le chemin qui n'est pas...

 

Au croisement de tous ces chemins,

"là" où il n'y a pas de chemin

Le rêveur tisse les liens de l'amitié.

Ici, merci Merciel

Du paradoxe de l'apprenti

 

L'apprenti rêveur

Suit le rêveur pas à pas

Où qu'il soit, quelles que soient les conditions

Rectifié, il goûte à sa rienté

Tenu à distance, il apprend la pleine solitude

Seul il était dans l'espoir de ne l'être plus

Seul il sera à tout jamais.

Dans l'orgueil de ne reconnaître aucun maître

Il s'en imposera un, sans choix.

Déjà publié ici 

Ce paquet n'est pas à démailloter

 

Le rêveur n'est pas un produit de la société

Quelle que soit la culture

Il ne va pas les chemins interdits

Mais le chemin caché.

Il est rare qu'il vous tende quelque chose

Lorsqu'il le fait...

Ce paquet n'est pas à démailloter

Vous êtes en mesure ou pas de Voir.

Au-delà des apparences

Vous ne saurez jamais rien de ce qu'il contient

Cela agit au cœur de la matière

Entendre ou pas dans sa propre matière.

Déjà publié ici

Rachel Wright

Ce n'est pas un doux rêveur

 

Douceur, infinie douceur

Le cœur

Pourtant ce n'est pas un doux rêveur

Ce n'est pas rêverie

L'art de rêver ne fait pas commerce.

La différence est énorme

Parce que chez l'humain tout se vend et s'achète

Tout est transformé en biens à monnayer

L'homme ne cesse de diviser

Le rêveur produit le miracle de la multiplication.

Déjà publié ici