Oh
Peuple des temps derniers
Tant de futilités !
Il manque le
souffle
Il manque la vie
Qui se perd
Dans ce processus
mensonger.
Ce
qui ne cesse de s'élargir
En ronds communiquant
Toujours plus
grand
Qui ne retient rien
Qui ne rejette rien
Qui ne cache
rien
Toujours moins.
Non,
ma fille, je n'appuie pas sur le bouton M,O,R,T
J'appuie
sur le bouton Vie, qui est
Naissance
et mort.
Ils
ont bien failli me couper les ailes
Mais
Cela veillait ,,,
Chaque
chose participant
De
la liberté !
Ils
restent là, indécis, imprécis
Et pourtant tellement
entêtés
N'ont rien à dire
Pas même à murmurer.
Alors
je suis sortie
Sur le pas de la porte, le vent m'attendait.
Vibrante
paix, profonde et si légère
Abandon sans laisser aller
Un mot
pour souffler, vacuité.