La
rose du petit prince pourrait bien nous égarer
Et
nous condamner à ce penchant si fort aux attachements morbides
Ceux
qui font les regrets, les carences, les ressentiments
Alors
considérons la question dans son entièreté.
« Retourne
voir ta rose, elle est unique »
Le
petit prince va retrouver sa rose et pour cela mourir
Mourir
aux attachements, quel paradoxe !
Pour
la raison seulement.
L'attachement
Vivant, ne connaît ni l'amertume, ni le manque
L'autre
est là, partout, en toi, surtout en toi
Si
doux, si caressant, fluide d'informations
Circulation
des énergies, quel bonheur !
Un
bonheur sans fin, et Voir, il est aussi sans commencement
Sans
cause, sans objet, il EST.
Internet