Qui es-tu, large de carrure, robuste au soufflet, qui t'échines, frustré apparemment de ton salaire? — Je suis l'imbécile des cendres bien froides mais qui croit à un tison quelque part survivant. Ah ! Si chacun, noble naturellement et délié autant qu’il le peut, soulevait la sienne montagne en mettant en péril son bien et ses entrailles, alors passerait à nouveau l’homme terrestre, l’homme qui va, le garant qui élargit, les meilleurs semant le prodige.( René Char, Recherche de la base au sommet, IV. À une sérénité crispée) Ah ! Si chacun, noble naturellement et délié autant qu’il le peut, soulevait la sienne montagne en mettant en péril son bien et ses entrailles, alors passerait à nouveau l’homme terrestre, l’homme qui va, le garant qui élargit, les meilleurs semant le prodige.( René Char, Recherche de la base et du sommet. À une sérénité crispée)
Qui es-tu, large de carrure, robuste au soufflet,
RépondreSupprimerqui t'échines, frustré apparemment de ton salaire?
— Je suis l'imbécile des cendres bien froides mais
qui croit à un tison quelque part survivant.
Ah ! Si chacun, noble naturellement et délié autant qu’il le peut, soulevait la sienne montagne en mettant en péril son bien et ses entrailles, alors passerait à nouveau l’homme terrestre, l’homme qui va, le garant qui élargit, les meilleurs semant le prodige.( René Char, Recherche de la base au sommet, IV. À une sérénité crispée)
Ah ! Si chacun, noble naturellement et délié autant qu’il le peut, soulevait la sienne montagne en mettant en péril son bien et ses entrailles, alors passerait à nouveau l’homme terrestre, l’homme qui va, le garant qui élargit, les meilleurs semant le prodige.( René Char, Recherche de la base et du sommet. À une sérénité crispée)
Après tout ce temps... je relis ces mots de René Char...
RépondreSupprimerMerci Anonyme