Ils
ont vu, que le mystère resterait entier
Ils
ont vu, dieu et diable, s’effacer des cieux obscurs
Ils
ont vu...
Que,
seuls, il leur faudrait marcher
Sans
jamais se retourner
Ils
ont vu, un monde finir en eux…
Les
plus vaillants marchaient devant
Leurs
rires tonitruants
Derrière,
les visages emprunts de sérieux
En
leur oreille encore la rumeur
Aucun
pour s’attarder, se pencher, retenir
Le
temps n’était plus aux regrets
Ils avançaient.
Ils
passaient et personne ne les voyait
Les
temps n’étaient plus aux révélations.
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