Toutes
ces idées noires, ces angoisses, qui peignent un tableau funeste où
la seule issue semble être le combat, une lutte en cris, en
souffrances, en sang versé. Rien de tout cela dans le processus
naturel de changement. C'est cette aberration qui disparaît.
Le
corps a vu le soleil descendre à l’horizon et l’esprit a dit :
« Ok, la journée est finie ».
Quelques
dernières occupations…
Et
puis la pluie, que la terre devenant poussière attendait, est
arrivée soulevant les parfums lourds de végétaux et d’humus.
Elle bat l’allée bétonnée des voisins. Un vent frais pénètre
la maison.
Quelque
chose s’échange du dehors, du dedans
Quelque
chose communique et partage
La
nuit s’éclaire
Dans
les bruits de la rue, cela est silencieux.
Ce texte me parle particulièrement en ce moment et il me donne envie de donner un grand coup de pied au fond de l'eau pour remonter.
RépondreSupprimerAmicales pensées chère Ariaga
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