Laisser
se dissoudre toute cette tension
Dans
le creux moussu du vieux chêne
Tout
est là…
La
pierre, la main et le trou qui épouse.
La
même chair, le même sang, il n’y a pas de différence
Seulement,
il y en a qui marchent depuis plus longtemps
Ceux-là
viennent de loin, si loin…
Lorsqu’ils
sont fatigués d’avoir tant marché
C’est
la montagne qui tremble
Et
les cieux qui grondent.
Ils
ne sont pas plus sages que les autres
Seulement
en eux tous les passés actualisés.
Ils viennent de plus profond, de l'inapaisable énergie originelle
RépondreSupprimerMerci anonyme pour cet écho...
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