mardi 18 novembre 2014

Quand... le ventre et la tête

C’est une fâcheuse habitude, celle de prétendre
Dire ce qui se passe en l’autre,
Alors même qu’on n’écoute pas ce qui se passe en soi.
 
Cela doit nous venir, de bien loin
Quand les discours fallacieux nous vrillaient
Le ventre et la tête.
 
Que nous étions, si petits
Que nous ne pouvions nous affranchir
Alors, subir…
 
Et le bruit de cette soumission
Ne pas pouvoir l’entendre
L’avoir enfouie
Et le pli. 
 

2 commentaires:

  1. L'avoir enfoui en soi... oui, sûrement, et ne plus oser ni l'écouter ni le dire, ni même le sentir parfois.
    Merci pour tout, Miche.

    Bisous et douce soirée.

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  2. Cause à effet et au moment de Voir, pffffffffffff
    o)))
    Belle journée à toi, chère Quichottine

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