samedi 29 novembre 2014

... suite

Je la reconnais, et même je la sens arriver cette forme si particulière, effet lumière qui précède.
Des paysages se dessinent, si beaux, je marche alors en mon esprit
Libre, de découverte en découverte, c'est sans fin
Sans fin parce qu'il n'y a pas la peur que cela finisse
C'est la peur qui disparaît, comme elle retient aussi
Incroyable beauté de ce partage en lumière à travers l'ombre
Je n'en connais qu'un, un seul qui brasse à ce niveau
Les énergies.

Mais il doit bien y en avoir d'autres...
Peut être...
Mais s'il est seul et que je sois seule
Cela n'a pas d'importance.



4 commentaires:

  1. Réponses
    1. La peur, comme la douleur, on ne saurait s'en passer, elles participent du vivant, les sens sont en alerte et dans cette attention, la juste attitude. Mais quand ces informations ne sont pas comprises, qu'on ne veut pas entendre le message qu'elles délivrent, alors elles s'installent et envahissent tout l'espace.

      Pour ce qui est de la peur de voir les choses finir, on touche là, la psychose du penseur, le complexe de ce qui sait ne pas exister et prétend être éternel. Double aberrations de l'état de séparation.
      Au-delà du penseur, ou dans le reconnexion en soi, tout à sa juste place, rien d'inutile, tout participe.

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  2. Quand on cesse d'avoir peur de l'inconnu, on a gagné à la loterie de l'existence mais c'est très difficile car notre mental est structuré ainsi. Amitiés.

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  3. L'inconnu ? Comment avoir peur de ce que l'on ne connait pas ?
    La peur de perdre ce que l'on connaît, oui. Et là, il y a plein de choses intéressantes à découvrir... qu'est-ce que le connu ? qu'est-ce que j'ai à perdre ? etc.
    Amicales pensées vers toi.

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