C'est
bien dans cette transparence que l'autre est autre sans être séparé
de mon corps, de tous les corps. Et par le fil de cette sensibilité,
l'intelligence du monde agit.
Je
ne suis, ni sujet, ni objet de cette intelligence vive. Traversé et
traversant, onde et particule, concentration et expansion, naître et
mourir, toutes ces dualités ne s'opposant pas, ne se confondant pas
non plus.
Tu
peux être loin, tu peux être ailleurs, tu peux être, sans que je
te connaisse, sans que tu me reconnaisses, là où je ne me sépare
pas se révèle le mirage de l'absence.
Le mirage existe, il existe dans un espace temps si réduit ! La fatale erreur étant de s'identifier à cela qui déjà n'est plus.
Le mirage existe, il existe dans un espace temps si réduit ! La fatale erreur étant de s'identifier à cela qui déjà n'est plus.
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