Nos
ennemis sont nos plus sûrs alliés
Ils
aident sans le savoir
Alors
qu'ils cherchent à vous saisir
Qu'ils
jugent, qu'ils disent quoi faire
Ils
aident
A
ronger les fils de la corde qui retient
Les
remercier en toute sincérité
Et
les libérer, vol de papillons argentés
Dans
un ciel vacuité.
Ce n'est pas facile de pardonner, même si l'on sait que cela nous rendrait la vie plus facile.
RépondreSupprimerElysa
Ah, ces mots ne parlent pas de pardon...
RépondreSupprimerJe comprends qu'ils puissent être entendus ainsi.
Je viens de lire tes derniers textes et je me demande comment tu fais pour, chaque jour, trouver matière à écrire des choses intéressantes, interpellantes. C'est une "oeuvre" que tu fais là. Amitiés.
RépondreSupprimerMerci Ariaga
RépondreSupprimerAmitiés
Mettant à leur insu la corde en lumière, ils favorisent la volte face de la libération.
RépondreSupprimerVolte-face : Oui, il vaut mieux faire face à notre plus grand ennemi...
RépondreSupprimerà l'hydre de l'attachement...
RépondreSupprimerUne tête coupée en fait renaître mille...
RépondreSupprimerMais la ruse en rajouter une et c'est mille qui tombent.
Point de ruse, point de tête, juste l'énergie libre.
RépondreSupprimerAlors fallait pas parler de l'hydre... prisonnière de la mythologie.
RépondreSupprimerEncore qu'il y a dans cette histoire comme dans toutes celles que l'homme a semées sur son passage quelque chose tenu enfermé...
Il n'y a en effet que de l'enfermé que l'on tente par des histoires d'exorciser...
RépondreSupprimerÉtrange, les histoires sont toujours-là, l'enfermement aussi...
RépondreSupprimerVoici que toutes ces histoires, de toutes les cultures, sont accessibles à tous.