Sur
l’île intense le ciel témoigne, traversé de part en part par
cette vacuité, plus que la lumière.
Les
nuages qui passent ne peuvent voiler sa présence, ils resplendissent
en un scintillement qui n’a pas de fin.
Toute
forme vibre à ce chant, les pierres, les végétaux, les discussions
des oiseaux, le vent, les bruits des activités humaines... dans le
silence et le vacarme à la fois. Cela gémit sous l’intense
caresse, et au cœur de ce bruissement incessant la force,
parfaitement immobile.
très beau. Merci.
RépondreSupprimerMerci Miche
RépondreSupprimerMerci à toi mon amie...
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