L'arbre,
quand le regard est dans cette rencontre
L'arbre
est bruissement du vivant
Il
est donc en moi
Ce
moi sans frontière
Qui
s'ouvre à l'infini
Qui
n'est que rencontre.
Pas
de mots, dans ce langage
Que
l'on dira silencieux
Mais
alors le silence n'est que pour l'absence
De
mots...
Et
puis les mots pour tenter de communiquer
De
quelque chose de cette dimension
Qui
semble ne plus concerner l'humain
Qu'inconsciemment.
Un
fleuve souterrain
Que
tous ou presque ignorent
Le
fleuve du toujours vivant
Neuf
toujours nouveau.
Ce qui est infini, c'est l'ouverture.
RépondreSupprimerOui, mais si l'ouverture est infinie
RépondreSupprimerC'est qu'en concomitance se fait la fermeture
Parfois nous percevons l'ouverture
Parfois la fermeture
Ce n'est que lorsque nous sommes au cœur
Silencieux "en cela"
Que nous "comprenons" ce double mouvement.
Oui, mais si l'ouverture est infinie
RépondreSupprimerC'est qu'en concomitance se fait la fermeture
Parfois nous percevons l'ouverture
Parfois la fermeture
Ce n'est que lorsque nous sommes au cœur
Silencieux "en cela"
Que nous "comprenons" ce double mouvement.
oui !
...
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