La
tige se dresse, les yeux mi-clos, ils ne regardent pas
L’éblouissante
chaleur et les pieds roulent sur les cailloux
La
pente se fait peu à peu dans l’effort du corps.
Ombre
légère, rafraîchissante
S’arrêter
dans ce creux
Ombre
profonde, humide, et le corps se repose.
Les
yeux s’ouvrent un peu au jeu de lumière
De
l’enchevêtrement des branches du bois aux loups.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires