Oh
doux chant de mon amour
Quand
le possessif
N'est
que pour ouvrir les bras
De
ce fleuve vivant
Sage
et impétueux
Doux
et si profond
Qui
peut se tarir
Sans
en trembler
Qui
dans l'instant
Jaillit,
source
Non
née, ni à naître.
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