Par
les trous du filet ?
C'est
toujours aussi beau !
Éternel
premier matin
Là,
je retrouve les miens
Si
légers dans leur respiration
Non,
ils ne sont pas futiles
Légers,
si légers...
Ils
dessinent du bout de leurs doigts vacuités
Des
paysages infiniment sérieux
Des
ombres et des lumières
Qui
se marient chaque nuit
Et
naissent à la pointe de l'aube
Tout
à sa juste place.
Tant
de douceur
Là
où s'élèvent les tempêtes, les abysses
Et
ces failles en laves déferlantes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires