Ne
percevant rien du toujours nouveau
Ils
vont amoureux du culte des anciens
Qu'ils
ont pris soin d'enterrer
En
des lieux identifiables
Esclaves
consentants
Ils
proclament que derrière cette porte
Est
l'illusion.
Les
enfants sont éduqués en ce mensonge
Ils
sont eux-mêmes ces enfants qui répètent la leçon
Ils
dorment et ne le savent pas
Déjà
morts et ils ne savent pas
Ils
ne veulent pas mourir.
Morts-vivants sont les timorés de l'amour.
RépondreSupprimerL'amour... ce mot est un tel fourre-tout !
RépondreSupprimerOn ne peut parler d'amour sans préciser de quoi nous parlons, ou plus exactement de quoi nous partageons.
Que ceux qui ont des oreilles entendent!
RépondreSupprimerNous avons tous des oreilles, la question n'est pas là.
RépondreSupprimerLorsque nous utilisons les mots, alors même que nous savons combien l'utilisation du langage en mots participe du mensonge, nécessité est de ne pas laisser un flou artistique planer.
Cet échange de commentaires portant sur le texte ci-dessus, je le dis clairement l'amour (dans sa non-définition) ne peut rien contre le mensonge.
Définir c'est enfermer.
RépondreSupprimerL'état de non-définition (flou entretenu de manière consciente ou inconsciente en vue de garder l'ascendant) n'est pas comblé par la définition au sens littéral du terme.
RépondreSupprimerIl s'agit juste de : "On ne peut parler d'amour sans préciser de quoi nous parlons, ou plus exactement de quoi nous partageons."
Nous en sommes à la sixième tirade, et je sais toujours moins de quoi vous parlez en parlant d'amour.
Je ne parle pas d'amour, je parle amour, comme on parle latin ou grec ;-)
RépondreSupprimerBelle journée.
Belle journée à vous aussi.
RépondreSupprimerCes mots "Je ne parle pas d'amour, je parle amour, comme on parle latin ou grec" je ne peux les entendre que de celui que je connais, de cette manière intime où les frontières du langage en mots n'ont pas d'existence.Parce qu'alors c'est expérience et partage.
RépondreSupprimerDans un échange anonyme je ne peux y entendre que grande arrogance, ou jeu de mots futiles.