C'est
comme si, il n'y avait plus de contact avec la seule chose qui soit
réelle peut-être, ce qui se présente-là. Je l'ai vu, je le vois.
A
force de réfléchir à des problématiques généralistes,
philosophiques et autres, être noyé sous le flot des informations
de seconde main, celles qui sont colportées par un faisceau d'ondes
toujours plus dense. Il se produit le même phénomène dans la boulimie de la consommation de biens, d'activités de loisirs. Brouillage, dispersion, ne plus être en mesure de laisser
venir à soi, la question.
La
juste question apporte la juste réponse, la juste réponse est
action (et non réaction), c'est immédiat.
Mon avis est bien proche de celui-ci !
RépondreSupprimerMais ... dans la pratique, de l'addiction au brouillage, comment s'en défaire ? La tête est si souvent loin du coeur !
Bonne journée Michèle
Il n'y a pas de remède miracle, n'est-ce-pas ?
RépondreSupprimerBon, ça n'empêche pas le marché d'exister ! o)))
Se sentir infiniment concerné, nul doute que cela rapproche le cœur de la tête... même si ce n'est pas confortable, même si cela ne fait pas la personne plus grande, même si cela ne rassemble pas le plus grand nombre...
Heureuse de te sentir là, Françoise.
Comme tout cela est juste et dans cette "crise" du covid !!!
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