Tu
le disais : « Tout est utile ». Cela semblait
impossible, en moi ça criait : « Non par les guerres et
les famines, pas les pollutions, pas ce péril ! ».
Et
puis, je me suis tue, juste écouter, écouter ce qui se dit en toi
que tu vois.
C'est
ainsi que le travail c'est fait, laissant descendre cette
énergie, mais tout autant c'est un mouvement ascendant.
Sur
les brins de cette double hélice...
Tu le dis autrement mais très bien, il faut du noir pour que la lumière brille.
RépondreSupprimerDans l’œuvre alchimique, oui il en est ainsi.
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