Ainsi
cette organisation sociétale
Est
parvenue à créer
L'ennemi
idéal
Le
fou parfait
Plus
de pitié
Plus
de justice
Ceux-là
se sont identifiés
Au
diable.
Face
aux forces du mal
Ne
peut-être que le bien
Le
juste, l'équitable
Le
droit divin
Que nul ne viendra contester.
C'est curieux... en lisant tes derniers billets et en remontant le temps, je me dis que rien n'est jamais blanc ou noir tout à fait.
RépondreSupprimerPourtant, nous avons, je crois, besoin de certitudes, d'identifier cet ennemi qui les remet en question.
Alors, que faire ?
Cela semble tellement plus simple lorsque un ennemi peut être désigné... Les émotions négatives se déversent sans encombre sur les criminels, compassion pour les innocentes victimes, accord pour la violence justifiée des armées de représailles.
RépondreSupprimerLe problème (il y a un, nous ne pouvons totalement l'ignorer) c'est que cette simplification abusive produit des situations géopolitiques si compliquées ! Tellement compliquées qu'il faut encore plus de mensonges pour les simplifier sous la forme duelle du bien contre le mal.
Alors ?
Renoncer à la simplification... il y a bien un passage en travail qui ne participe d'aucune certitude.