C'est
ainsi que nous avons commencé à habiller les choses, les
travestir, leur donner une apparence conforme à un dictat, sans
respect pour l'intériorité jusqu'à la nier. Dire une chose et
faire son contraire, prétendre l'effort pour atteindre loin, loin
là-bas, l'horizon jamais atteint. Juger des choses, les classer
selon des critères de beauté, de bonté, comme si le beau était
une qualité que l'on puisse acquérir, aujourd'hui pas, mais
demain ! Toujours plus de faussetés entre et entre, et ne plus
jamais entrer, même pas se saluer.
Les
deux énergies sont là, au rendez-vous du sacrum, toutes deux
enlacées, dedans/dehors, mâle/femelle, nudité absolue.
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