jeudi 7 janvier 2016

Sur tes lèvres

Parce qu'on est idiot, la majeur partie de ce temps
Celui qui s'écoule entre les deux rives
Idiot, inconscient
Qu'un arbre est plus vivant !

Et dans cette nuit qui ne s'efface jamais complètement
Quelques étoiles filantes
Et pourtant...
A une encablure, l'embrasement.


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