Je
suis le créateur, et je suis sa création
Non
pas une parcelle du divin
Je
suis le créateur
Comme
tu es le créateur
Non
pas une parcelle divine
Tu
es le créateur
Et
l'oiseau
Et
ce brin d'herbe
Et
le chant de l'eau
Et
la lumière au cœur de la matière.
Le
berger ?
Il
n'y a de berger que dans le mensonge
Le
berger tond le mouton
Et
lorsqu'il n'y a plus de laine
Il
tue le mouton
Ignorant
le créateur dans la création.
Mais
le créateur est éternel
La
mort, participe du processus d'éveil de la conscience
Mais
celui qui tue, l'autre, son frère, c'est toujours un frère
Celui
qui lui prend sa liberté, sa dignité, sa confiance
Celui-là
se condamne à l'éternel retour.
Plus de victime, si le créateur est en nous.
RépondreSupprimerOui, plus de victime, plus de conflit, plus de peur...
RépondreSupprimerDes expériences, des situations, toutes propices à ...
Mais que faites-vous des victimes de tous les crimes et holocaustes ?
RépondreSupprimerQue celui qui pense le créateur en dehors de lui, se voit un jour affligé par un mal venu tout autant du dehors, n'est-ce pas le comble du non-sens ?
RépondreSupprimerNon-sens au service du mensonge qui fait des états, des rois, des puissants, qui soit-disant vous protègent comme un père protège ses enfants. Êtes-vous encore des enfants ?
Regardez encore, combien ces "grands" participent des massacres, après quoi ils font des commémorations, dressent des autels désignant des coupables et des victimes.
Quoi qu'il puisse arriver, en moi le créateur et la créature.
Ton excellent texte rejoint tout ce que je serine depuis longtemps sur l'absence de frontière entre l’ombre et la lumière. Merci
RépondreSupprimerL'ombre et la lumière sont, il n'y a pas besoin de frontière !
RépondreSupprimerMerci à toi Ariaga