Sur
le quai, déchargés, des poissons
Désespérément ouvraient la
bouche
A la recherche de leur respiration
Aquatique
Dans
l'indifférence la plus totale
Les humains n'entendant pas
Cette
souffrance silencieuse
Et puis les cris d'une enfant
Qui
ne supportait pas le regard vide
De ce grand poisson agonisant.
"J'ai abandonné la pêche le jour où je me suis aperçu qu'en les attrapant, les poissons ne frétillaient pas de joie. "
RépondreSupprimerLouis de Funès
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