dimanche 16 mai 2021

"Nos enfants"

 

A tous les enfants, « nos enfants »

Souffrant de nos incompétences

A nous adultes, d'être tout simplement humain.



Marco De Angelis 

8 commentaires:

  1. Généralement, les enfants commencent à nous comprendre quand ils sont à leur tour parents... :)

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    1. Nous ne sommes vraiment pas sur la même longueur d'onde Quichottine...

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  2. Je suis désolée.
    En fait, tu as raison, je n'ai pas envisagé tout.
    Tu évoquais plutôt ceux qui souffrent du fait de la guerre et autres calamités, pas les nôtres.

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    1. Ce sont aussi NOS enfants !
      En moi, ce sont vraiment Mes enfants, et j'entends leurs cris et leurs pleurs !
      Là-bas, en Syrie, et partout où des enfants ont a souffrir de nos incompétences à nous adultes, d'être tout simplement humain.

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    2. Alors, oui, je suis tout à fait d'accord.
      "Partout où des enfants souffrent"... partout.
      Toutes mes excuses pour les messages précédents.
      Passe une douce soirée.

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    3. Je t'en prie...
      Bonne soirée à toi aussi.

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  3. Prière iroquoise

    Nous rendons grâces à notre mère, la terre, qui nous soutient. Nous rendons grâces aux rivières et aux ruisseaux qui nous donnent l'eau. Nous rendons grâces à toutes les plantes qui nous donnent les remèdes contre nos maladies. Nous rendons grâces au maïs et à ses sœurs les fèves et les courges, qui nous donnent la vie. Nous rendons grâces aux haies et aux arbres qui nous donnent leurs fruits. Nous rendons grâces au vent qui remue l'air et chasse les maladies. Nous rendons grâces à la lune et aux étoiles qui nous ont donné leur clarté après le départ du soleil. Nous rendons grâces à notre grand-père Hé-No, pour avoir protégé ses petits enfants des sorcières et des reptiles, et nous avoir donné sa pluie. Nous rendons grâces au soleil qui a regardé la terre d'un œil bienfaisant. Enfin, nous rendons grâces au Grand Esprit en qui s'incarne toute bonté et qui mène toutes choses pour le bien de ses enfants.

    « Nos mœurs sont différentes des vôtres. La rue de vos villes fait mal aux yeux de l'homme rouge. Mais peut-être est-ce parce que l'homme rouge est un sauvage et ne comprend pas.

    Il n'y a pas d'endroit paisible dans les villes de l'homme blanc. Pas d'endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps ou le froissement d'aile d'un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas.

    Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Quel intérêt y a-t-il à vivre si l'homme ne peut entendre le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d'un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et je ne comprends pas.

    L'Indien préfère le son doux du vent s'élançant comme une flèche à la surface d'un étang, et l'odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon. L'air est précieux à l'homme rouge car toutes choses partagent le même souffle : la bête, l'arbre, l'homme, tous partagent le même souffle. »


    Attribué au chef Seattle (1786-1866)

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