Le destin n’attend pas, la fatalité frappe sur toutes les surfaces. On ne voit bien que ce que l’on veut voir. Partout des démangeaisons et un seul endroit que l’on gratte inlassablement jusqu’à l’éclosion d’une goutte de sang sur la peau rougie. Le danger est imminent, il gravite en permanence autour de l’être que l’on suppose protéger. La vie n’a de valeur que l’estime qu’on lui porte. Egoïste, je ne me regarde pas, je donne à voir. Reclus au fond de tous mes stratagèmes de survivance, le commandement du plus fort évince l’argument le plus faible. Les mots et la parole ne se suffisent à eux-mêmes, ils élargissent la condition dans laquelle chaque être humain se trouve. La faille est béante. L’espace-temps devient la prononciation qu’on lui accorde. Ma raison n’arrive pas à avoir raison de tout et je me saborde dans les brouillards que je ne sais pas diluer.
Le destin n’attend pas, la fatalité frappe sur toutes les surfaces. On ne voit bien que ce que l’on veut voir. Partout des démangeaisons et un seul endroit que l’on gratte inlassablement jusqu’à l’éclosion d’une goutte de sang sur la peau rougie. Le danger est imminent, il gravite en permanence autour de l’être que l’on suppose protéger. La vie n’a de valeur que l’estime qu’on lui porte. Egoïste, je ne me regarde pas, je donne à voir. Reclus au fond de tous mes stratagèmes de survivance, le commandement du plus fort évince l’argument le plus faible. Les mots et la parole ne se suffisent à eux-mêmes, ils élargissent la condition dans laquelle chaque être humain se trouve. La faille est béante. L’espace-temps devient la prononciation qu’on lui accorde. Ma raison n’arrive pas à avoir raison de tout et je me saborde dans les brouillards que je ne sais pas diluer.
RépondreSupprimerBon weekend à toi Bruno
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