jeudi 27 novembre 2014

Par la beauté du vivant.

Rien ne se fait sans que l'on soit touché par la beauté du vivant, les sons, les parfums, les couleurs, les sensations, les images, la lumière, dans son corps tout entier... c'est amour.
C'est alors pour la personne humaine la confrontation avec Voir l'étendu des dégâts, il n'y a plus sur cette terre un seul endroit qui ne soit pas touché par la folie de nos comportements destructeurs. C'est un fait. 
Voir n'entraîne aucun sentiment de culpabilité, et l'on peut alors remarquer combien ce complexe est mensonger, il vise encore à ce que rien ne change privant la personne de toute énergie.  Voir c'est faire ce qu'il y a à faire. Dans le tout est lien, il n'y a pas d'acte important et d'autre qui ne le serait pas.

Tout commence, recommence, s'éveille, lorsqu'on est touché par la beauté du vivant.



7 commentaires:

  1. "... l'étendu des dégâts, il n'y a plus sur cette terre un seul endroit qui ne soit pas touché par la folie de nos comportements destructeurs. C'est un fait. "

    Pour moi, ce n'est pas vrai, je ne suis pas d'accord. :-)

    RépondreSupprimer
  2. Bonne soirée à toi, Cédric.
    Merci de l'intérêt que tu portes au travail qui se fait ici.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah non ! pas de "travail", je ne vois pas ici de "travail" ! :-)

      "De l’ancien français travail (« tourment, souffrance ») (XIIe siècle), du bas latin (VIe siècle) tripálĭus du latin tripálĭum (« instrument de torture à trois poutres »)."

      Je ne vois pas de torture, je vois de la joie. ;-)

      Des mots partagés dans la joie de les partager, mais pas d'effort, pas de "travail"... :-)

      En fait, notre principale différence est là : tu te bats contre le monde tel qu'il est, contre l'image que tu en as, tu souffres du monde tel qu'il est, tu "travailles" à vouloir le transformer, quand moi, je l'accueille tel qu'il est, je l'aime tel qu'il est, sans aucune volonté de l'amener dans une direction que je jugerais être la bonne pour lui ou pour moi.

      Je sens en toi un "travail", un effort ; je ne sens rien de ce type en moi, je l'accueille, et je l'aime, le monde, exactement tel qu'il est...

      Voilà ce que je vois comme étant notre principale différence.

      Excellente journée à toi, chère Miche.

      Supprimer
    2. Hello Cédric

      1) Le monde ne cesse de changer, donc aimer le monde tel qu'il est, c'est aimé le changement.
      2) Toutes les espèces, toutes les formes de vie travaillent, le vivant est un grand chantier, infinité de calculs. Aimer le monde, c'est aimé le travail. Pas de travail sans effort. Effort n'est contrainte que pour le fainéant.
      3) Amour est énergie qui n'a rien à voir, avec tous nos : je t'aime, j'aime le monde, etc.
      Viens demain, si tu veux, j'approfondirai peut être la question, de tous ces JE qui aime.

      Bonne fin de journée à toi.
      Je t'embrasse.

      Supprimer
    3. Ah une petite remarque, mais tu fais comme tu veux !
      Tu ne lis pas les textes, tu n'écoutes pas ce qui se dit.
      Tu ne retiens que ce qui t'intéresse, c'est quelque chose qu'on t'aura déjà dit...
      Je disais donc que tu fais comme tu veux, mais lorsque tu es par trop hors sujet, je modère tes commentaires.Je les modère aussi quand il y a surenchère, et que cela tourne à la discussion. Les disputes d'opinions ne m'intéressent pas, là j'ai fait un effort en te répondant. o))))
      Voilà, voilou, à la prochaine.

      Supprimer
    4. Je t'aime telle que tu es. ;-)

      Supprimer
  3. Lolll, c'est demain l'analyse de tous ces JE qui aime, toi qui n'est pas moi.

    RépondreSupprimer

Merci de vos commentaires