De
mots tendres soutenus par une pensée logique
Elle
nourrissait ses amants hommes et femmes
Elle
les aimait tous
Alanguie,
langoureuse, philosophe à son heure tardive
La
vieille dame s'habillait de dentelles ivoires
Elle
semblait sans âge.
Une
barque glisse sur une eau tranquille
Une
pincée de regrets, faire la leçon gentille-ment
De
convenance en fulgurance
Tout
va bien !
Mais...
voilà, que la voix se tait
La
rose a-t-elle défleurie ?
On
passe inquiet, on réclame la becquée
Mais
plus personne dans l'alcôve
Et
ceux qui viennent encore
Sentent
bien que le parfum de la grande dame
Est
toujours moins perceptible
On
finira par tout oublier.
ou on exploitera la nostalgie...romantisme...
RépondreSupprimerOui, c'est du commerce, le commerce de la bienséance, la comédie humaine. :-)
RépondreSupprimerPrende l'humain pour ce qu'il est, sans illusions...
RépondreSupprimerAh, mais "l'humain" serait-il quelque chose de statique, quelque chose à ne pas interroger ? Il me semble au contraire que pour que l'humain advienne il faille se laisser travailler au corps par ce que nous sommes encore, des marchands du temple, des esclaves de système pervertis, etc.
RépondreSupprimerBien évidemment chacun fait comme il veut, comme il peut.
Bonne soirée à toi Marine.
Merci...
RépondreSupprimer:)merci à toi !
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