Allongée
sur le sol de la cour carrée
Dans
l'infini du ciel, un oiseau de proie
Vol
plané en des cercles s'élargissant
Plus
haut, plus profond
L'observer,
seulement l'observer
Les
cercles prennent forme
En
ton propre corps
Et
lorsque d'un trait l'aigle est transporté
Tu
y es, ou plutôt tu n'es plus dans la peau
De
l'observateur séparé.
Wuauuu Miche ... j'adore ... moi aussi, je sors de ma peau pour y être … Oh l’aigle, quelle vertige ! Cela m’arrive … Merci pour partager !!! Quelques fois de façon tout à fait inattendue cela arrive tel un cadeau infiniment précieux … comme hier soir en découvrant une toute petite chose sur la table devant moi, qui semblait rien, mais qui à mieux regarder était un moucheron … tellement petit, mais si vivant, attentif … et alors, c’est un éclat de joie qui est là ! Les yeux grands ouverte (par la surprise de la découverte) et un changement de peau soudain comme la foudre… un instant qui suffit à apprendre la vertige de la seule beauté … du grand amour … ;-)
RépondreSupprimerOui, lolllllllllllllllllll
RépondreSupprimerTendresse Merciel
D'un commun élan...
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