Toi, moi, le monde des formes, nos différences
Exacerbées par le processus de l’identification
Qui ne tarde pas à faire des nœuds
Émotions, peurs
Et rien n’attache plus que la peur.
Lâcher prise et ce n’est pas une fuite
Le monde des formes est là
Mais le mur se met à vibrer
A l’unisson d’une vibration que l’on dit : interne
Et la forme révélée dans sa nature lumineuse
Transparence cristalline.
Toi, moi, cela n’a plus de sens
Être ce paysage qui se découvre
Par la fente d'une pupille
Et bien sûr que cela est, plaisir.
Vient ce moment de décider en conscience
L’accomplissement de ce plaisir
Explosion en chaque cellule
Ou s’ouvrir encore à l’inconnu
Jusqu’à ce palier de l’immobilité en esprit
Trou noir, cela par quoi le monde se connaît.
Aucune décision. :-)
RépondreSupprimerOn ne décide rien, ni la conscience, ni l'accomplissement, ni l'explosion, ni s'ouvrir à l'inconnu...
Je n'ai pas décidé d'écrire ces mots.
Tu n'as pas décidé de les lire... :-)
Personne ne décide de vivre, puisqu'il n'y a personne, il y a simplement la vie qui vit sans même qu'elle ait besoin de le décider... :-)
Il en est ainsi pour toi, incontestablement, quand tu le revendiques, quand tu dis le contraire, etc.
RépondreSupprimerMais tu ne peux en aucune façon prétendre qu'il en est ainsi pour tous les autres et pour moi.
Juste une question de niveau, avec quoi cela résonne en soi... d'écoute aussi.
o)))
En fait, je ne sais pas.
SupprimerAu fond, je ne sais rien.
Quand je ne pense pas, il n'y a rien, je ne "sais" rien. :-)
Et la plupart du temps, je ne pense pas, donc la plupart du temps, je ne sais rien. :-)
Cela pense toujours. C'est encore le penseur dans son état de séparation qui dit, je pense, je ne pense pas, je sais, je ne sais pas, etc.
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