Quand
le soleil caresse le pubis de la terre
Au
matin, c'est exubérance, la tige se dresse
Dans
l'éveil des oiseaux et des fleurs
Jusque
dans les tréfonds de l'infiniment petit.
Quand
le soleil caresse le pubis de la terre
Dans
les dernières lueurs, c'est tout autre
L'amant
sait qu'il meure, il a donné son foutre
La
graine bien au chaud dans le ventre de la mater.
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