Si
nous étions assis près d’un feu
Sans
savoir comment l’allumer ce feu
Que
la seule solution pour le garder
Et
oh combien il nous est devenu indispensable ce feu !
Sûr,
nous serions plus vaillant à veiller sur la flamme.
Mais
voilà, nous sommes ceux qui ne connaissent plus la faim
La
peur a grandi d’autant, c’est étrange…
Nous
saurions ce qui est important
Plus
qu’important, vital !
Et
chaque instant de nos vies y serait consacré
Donnant
sens si vivant.
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