Ce
qui est en marche, ne dit pas son nom véritable
Qui
n'est ni celui de la liberté, ni celui de fraternité, ni celui de
l'égalité
Les
idéaux donnent à penser qu'ils rassemblent les hommes
Ils
ne font que les diviser et les opposer
Et
les rendre corvéables à merci
De
corps et d'esprit.
Ce
qui nous fait ensemble et sans conteste de toute autre nature
Ne
fait appel ni à l'émotion qui aveugle
Ni
à la raison qui est toujours celle du plus fort
Et
soumet le plus faible.
Oui, et pourtant ils disent le contraire !
RépondreSupprimerComment pourrait-il en être autrement ?
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