Libérer
les mots de l'emprise de la tentative de définition du vivant
Devrait
nous permettre d'en limiter le nombre
De
mieux les utiliser
Dans
une pensée méditative
En
lien profond avec l'expérience
Qui
se fait en chaque être vivant
Être
dans cette écoute
N'avoir
plus rien à défendre.
Marcher,
et la montagne et les arbres et le ciel
Et
la branche et l'oiseau
Tout
vibre à l'unisson des cellules de ce corps
Transparence
des formes
Éphémères
et changeantes, tellement !
Traverser
et être traversée
Cela
ne fait pas une vérité
Juste
ce qui se donne à vivre
Que
je ne peux pas trahir.
Les mots de la marche attentive, spontanés, tels des trilles dans l'air.
RépondreSupprimertelles des trilles dans l'air.
RépondreSupprimer;-)