C'est
physique le travail des énergies
Dans
nos corps de pensée
Et
l'esprit aime ou n'aime pas.
Dans
son état de séparation
L'esprit
craint plus que tout
L'égarement
C'est
qu'il ne veut pas voir
Que
cet ordre qu'il promeut
Est
folie, chaos, destruction.
C'est
physique, en sensations
Autres,
tellement autres
S'ouvrir
sans cesse à l'inconnu
Toujours
plus d'inconnu.
Le mental ne cherche-t-il pas à se faire une idée concernant les "sensations" ?
RépondreSupprimerLe mot "sensation" n'est-il pas déjà une représentation ?
Oui, le mot "sensation" suggère une représentation, et c'est bien cette représentation et toutes celles qui l'accompagnent qui prennent fin dans l'ouverture à l'inconnu.
RépondreSupprimerLes mots sont pour moi, des "fils" qui conduisent plus ou moins directement à cette ouverture.
Dans la rencontre, les mots ne forment pas des idées, son et lumière. Les mêmes mots, quand ils ne participent pas de la rencontre, indiquent des directions, posent des interdits.