Votre
monde est un enfer pavé de "bonnes intentions"
Je
le vois apparaître sous vos pas pressés
De
vos empressements
De
vos mains qui ne cessent de chercher à saisir
Puis
fatiguées, les voilà qui pendent au bout de vos bras
Ballants.
La
même tristesse que celle dans les yeux de ces chiens errants
Qui
se couchent sur la chaussée attendant le repos de la mort
La
même rage que celle de ces fous rendus au bout de leur chaîne.
Un
pas de côté, et votre monde disparaît
Ce
n'est plus que beauté
Irradiante
beauté
Vous y êtes déjà.
Notre monde est construit de précipitation et d'immédiateté. Il oublie le passé et condamne son avenir!
RépondreSupprimerPassé et avenir sont une même idée. Les idées n'ont jamais permis de "toucher" ce qui est immédiat, que vous semblez confondre avec le "tout un consommable".
RépondreSupprimerJe ne vous en veux pas de votre précipitation à me lire, ce qui se dit ici n'est pas aisé à comprendre, j'en conviens.
Merci de votre passage ici alezandro.
Le pas de côté puis l'ivresse, le vertige des premiers pas libres puis l'inébranlable fermeté d'un pas...
RépondreSupprimerLe pas de côté puis l'ivresse, le vertige des premiers pas libres puis l'inébranlable fermeté d'un pas.
RépondreSupprimerTémoigner de ce chemin qui n'est pas, encore et encore, si non nous ne serions pas nés dans cette condition.
RépondreSupprimerS'il a des témoins, c'est qu'il est.
RépondreSupprimerLe témoin ne décrit pas un chemin tracé sur une carte, il ne propose pas un chemin qui serait à suivre. Défiant la logique qui dit qu'une chose ne peut qu'être ou ne pas être, témoigner de cela.
RépondreSupprimerIl ne décrit pas, il évoque .
RépondreSupprimerNi il décrit, ni il évoque, un chemin à suivre qui serait tracé sur une carte.
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