Votre
monde est un enfer pavé de "bonnes intentions"
Je
le vois apparaître sous vos pas pressés
De
vos empressements
De
vos mains qui ne cessent de chercher à saisir
Puis
fatiguées, les voilà qui pendent au bout de vos bras
Ballants.
La
même tristesse que celle dans les yeux de ces chiens errants
Qui
se couchent sur la chaussée attendant le repos de la mort
La
même rage que celle de ces fous rendus au bout de leur chaîne.
Un
pas de côté, et votre monde disparaît
Ce
n'est plus que beauté
Irradiante
beauté
Vous y êtes déjà.