C'est
toujours la même histoire, celle de se penser, de se vouloir, de se
revendiquer, propriétaire.
L'entité
la plus féroce, le propriétaire.
Ils
diront, les propriétaires, qu'ils n'ont pas que des droits, qu'ils
ont aussi des devoirs. La belle excuse que voilà ! Comme les
chasseurs qui se prétendent gestionnaire de la forêt. Comme si la
forêt avait besoin de la main de l'homme pour exister ! La main
de l'homme en a fait des terres à exploiter, et voici les terres
stériles.
Celui
qui a vu qu'il est de passage dans cette condition pour un travail
de compréhension, ne cherche ni sa sécurité, ni sa liberté, de
fait il est libre dans la relation qui le fait au monde. Il n'appartient à aucun espace, il est de tous.
La forêt n'a peut-être pas besoin de la main de l'homme pour exister, mais elle en a besoin pour être ce qu'elle est à notre époque,accessible, si agréable pour la promenade. Les chasseurs régulent les espèces en trop grand nombre qui la mettent en péril.
RépondreSupprimerVous me faites penser, Nelly, à mes voisins qui disent : "On n'a pas le choix, si on ne traite pas, on ne récolte rien !"
RépondreSupprimerJustement si, c'est une question de choix, donc de prise de conscience.
La forêt n'a pas pour vocation d'être un lieu de promenade, elle n'a pas pour vocation de faire plaisir à des humains en mal de bien-être, en manque de sens.
Les espèces qui prolifèrent ? Elles ne le font que parce que nous avons produit un déséquilibre dans cet écosystème, comme dans tous les écosystèmes de la terre.
Fausse route !
Vous pensez donc que l'homme est mauvais, vous le jugez et le condamnez.
RépondreSupprimerCelui qui est dans l'erreur, n'est ni bon, ni mauvais, il est dans l'erreur.
RépondreSupprimerJe n'ai nul besoin de juger et condamner, tout est là qui s'affiche sur le petit et le grand écran.
Ah, je reviens un instant, sur "les espèces qui prolifèrent". Que dire que de la notre de prolifération ???
RépondreSupprimerElle posera de plus en plus de problèmes... mais nous notre civilisation ne permet pas d'élimination.
SupprimerNous avons subi les génocides, nous n'en voulons plus, mais d'autres ne se privent pas d'éliminer ceux qu'ils considèrent comme indésirables.
Triste monde.
Il faudra un cataclysme pour y remédier.
Pourtant, je ne le souhaite pas.
L'homme depuis qu'il existe n'a jamais cessé de faire la guerre,d'organiser des tueries et des massacres, il le fait même au nom de la paix.
RépondreSupprimerCeci n'est pas nouveau, concerne toutes les époques, toutes les cultures.
" Que dire que de la notre de prolifération ???"
Convoqués peut-être pour la fin d'un cycle...