Le
jeûne long, dans cette exploration du possible "vivre sans se nourrir
de la chair d'un autre vivant", est encore un travail. Il y a donc des
résistances et des passages difficiles, rien qui ne mette en péril
les fonctions vitales, non : on a faim, on a une grosse envie, une très grosse envie. Créateur et créature ne reconnaissent pas.
C'est
le lien entre le corps et l'esprit qui n'est pas encore établi.
Ce
lien rompu par des générations et des générations, au point que
l'on peut penser que l'homme est apparu dans cette rupture.
Nécessaire,
peut-être, à permettre ce saut quantique de la conscience au sein
de la matière incarné.
Le dégoût, l’écœurement: puissante impulsion de l'esprit et du corps pour le saut quantique.. Sa chance...
RépondreSupprimerOui, comme un suicide...
RépondreSupprimer..., non une métamorphose, pour une autre respiration.
RépondreSupprimerA hauteur d'un suicide...
RépondreSupprimerOui.
RépondreSupprimerIl y a des vagues sur l'océan, certaines mettent plus de temps pour atteindre le rivage...
RépondreSupprimerOui, c'est à la hauteur d'un suicide, puisqu'il y a mort au connu, à toutes ces choses que l'on tient pour importantes, indispensables, vitales, par habitude. Et que cette mort, le premier pas, on en décide, on se la donne. Ce "on" n'a rien d'anonyme...
Ah aussi... définitif, pas de retour en arrière possible.
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