Parfois,
remonte du bas du ventre
Un
cri, une grande colère
Parce
qu'enfin !
Ceux-là
ne demandent
Qu'une
seule chose
Travailler,
gagner de quoi nourrir
Je les ai vu à l’œuvre
Ils
ne s'épargnent pas la peine.
Putain
de système !
Ah
bas les tyrans et tous ceux qui se sont vendus
Aux
plus offrants.
Mais...
VOIR
Et
le cœur vibre doucement
Nous
ne sommes pas ici pour nous installer
Exploration
au-delà des sentiers battus
Remise
en cause de tous les acquis
Nous
décidons de tout ce qui survient
Dans
nos vies, absolument.
J’aime ce regard …
RépondreSupprimerAhiiii ,,, le mal que fait l’identification qui me sépare de toi : pierre, arbre, animal, frère et sœur humains. C’est immédiat ! Sentir et voir sans voile ... un grand champ unique. Oui, cher Miche, c’est la Beauté !!! Rien ne vaut cette Merveille !!! Ça implique aussi savoir la douleur, la sentir en soi … Tout circule … tout passe ... Et la vie, l’amour ne font qu’accomplir la transmutation des énergies malades … alchimie des rencontres … Don de soi, la Beauté de ce regard … sa douceur … son sourire … Elle ne faut que murmurer sans cesse : je t’aime.
... le chant des cellules, audible à côté, comme superposé à la cacophonie du monde que nous faisons, que de guerres, de sang versé, de terres empoisonnées !
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