– La
plainte du loup.
– Ah
non ! Le loup ne se plaint pas, il communique ! Il n'y a
que l'être humain pour se plaindre.
– Mais
se plaindre n'est-ce pas communiquer, de sa souffrance, de sa peine ?
– Non,
la plainte ne communique pas, c'est un surajout au bénéfice de l'ego.
Je ne l'avais pas vu comme ça... alors si nous disions que l'être humain qui a de la peine peut en faire part à ses amis sans que ce soit se plaindre, mais seulement dire pourquoi il n'est pas tout à fait "comme d'habitude"?
RépondreSupprimerBises et douce journée Miche.
Lol, si on disait que... la peine n'existe que parce que je la dis, et encore parce que je demande à l'autre de l'entendre ? Comme d'habitude ? Ah Quichottine cela ne veut rien dire pour moi.
RépondreSupprimerMoi aussi, je t'embrasse.
Tu me fais rire... mais finalement, le rire étant le propre de l'homme, ça me va. ;)
RépondreSupprimerEst-il humain d'avoir de la peine ? Faut-il la garder pour soi et la cacher derrière un sourire pour ne pas qu'elle se propage sans raison ?
Je suppose que chacun peut choisir de ne pas dire ou de ne pas entendre et c'est bien ainsi. :)
Passe une douce soirée,Miche.
Ah, le culte des émotions, ça c'est bien humain.
RépondreSupprimerDans l'ignorance même que nommer c'est faire exister.
Douceur, chère Quichottine.
Le rire et les larmes ne sont pas le propre de l'homme, les animaux tout comme nous connaissent les émotions, sont pétris par elles. La différence entre l'homme et l'animal, je la vois et l'expérimente dans cette possibilité de ne plus être menés, malmenés par les émotions. Mais l'attachement aux émotions est si grand !
RépondreSupprimerÉgaré le troupeau des émotions
RépondreSupprimerLe loup rode
Veille le berger.
Le troupeau des domestiqués, ah oui que d'émotions ! que d'impuissance ! Parce que le troupeau sauvage, lui s'organise face à la menace !
RépondreSupprimerSa sauvagerie le protège...
RépondreSupprimerRetrouver cette force qui a dressé, pour enfin la tresser et non en tirer un profit à se gonfler d'importance. Car quoi, 'mon malheur', 'ma peine', 'ma tristesse', voilà comment la personne se pense importante.
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