N'aimer
que ce qui déconstruit avant que de construire
Une
image fugace, une barque glisse
Une
porte qui grince
Un
pas dans le couloir
Un
pas qui s'attarde
Avant
de disparaître
Un
feu crépite
Une
cheminée
L'âtre
noir
Bouche
grande ouverte
Sur
l'inconnu
Des
voix, des voix appellent
« Ibis
où es-tu ? »
Se détacher, sans sombrer dans l'ennui ?
RépondreSupprimerLol, déjà on ne se détache pas, ce sont les attachements qui prennent fin... Est-ce là, que l'on peut (de l'extérieur) imaginer un mortel ennui ?
RépondreSupprimerSeul le consommateur se lasse et à besoin de "chair fraîche". Dans le chant vibratoire tout est neuf à chaque instant, réellement.
Bien à vous anonyme.
L'ennui est dans les autres?
RépondreSupprimerMais on ne vit pas dans la peau des autres... :)
RépondreSupprimerDans le chant vibratoire la peau de l'un, de l'autre ?
RépondreSupprimerIl est rare que l'autre se manifeste dans le chant vibratoire...
RépondreSupprimerUn détachement nécessaire quand l'amour n'est plus partagé.
RépondreSupprimerDouce et belle soirée, Miche.
Ah, Quichottine ne sais-tu donc pas qu'on peut aimer sans être aimé ?
RépondreSupprimerQu'est-ce que cet amour qui ne se donne que pour recevoir ?
On peut, évidemment.
SupprimerCependant, si l'amour n'est pas partagé, il peut devenir souffrance.
En fait, je me demande si en te lisant je ne finis pas par tout mélanger.
Aimer veut dire tant de choses différentes !
Donner sans jamais recevoir, c'est être un peu maso, non ?
(même si on n'aime pas pour être aimé...)
Arrête de me lire Quichottine, je ne voudrais pas être la cause d'un si grand dérangement ! :)
RépondreSupprimerAlors maso ou commerce ? C'est à toi de choisir.
Pour moi, cela ne se présente pas à ces termes, dépassés déjà.
Bonne journée à toi.