vendredi 16 septembre 2016

Une île

Pour rien au monde, je ne troquerai 
Mon île vagabonde
Je ne sais m'habiller de gris trop longtemps
Les couleurs vives explosent de tous côtés
Du ciel à l'océan, du trou de montagne
Au pieds du volcan.

12 commentaires:

  1. Les couleurs qu'avivent les vents.

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  2. Vieilles femmes
    Toutes noires du dehors
    Solitudes en masures
    Au dedans...
    Riches des couleurs.

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  3. Veilleuses farouches des couleurs.

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    1. Les couleurs sont libres
      Les vieilles femmes sont libres
      Le vivant n'a nul besoin que l'on veille.

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    2. Le libre veille le vivant.

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    3. Seriez-vous de nature inquiète, anonyme ?
      Vigile, veiller... Faut pas toujours imaginer le pire !
      On demande à la lune, et la lune dit : "t'en fais pas mon gars, sèche tes larmes, moi aussi je tremble un peu..." :)

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    4. Non mais l'angoisse, longtemps, pour le libre, est chrysalide.

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    5. On nous élève pour becter et finalement c'est nous qui sommes bectés... il n'y a pas de chrysalide pour la liberté, elle est ou elle n'est pas.

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  4. C'est dans les vieux pots que l'on fait...

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  5. Trivialité ! Je n'aime pas la vulgarité.

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  6. Que c'est beau !

    Anonyme : Les couleurs qu'avivent les vents.

    Miche : Vieilles femmes
    Toutes noires du dehors
    Solitudes en masures
    Au dedans...
    Riches des couleurs.

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