Les
gens et leurs malheurs
C'est
quelque chose !
Hideuse
chose, hideuse plainte
Et
le mensonge parce que pour se maintenir
Dans
ce niveau d'inconscience de sa propre folie
Refus
de guérir, identification à la forme malade
Il
faut nécessairement s'adonner à l'usage de quelques drogues
Comme
l'alcool.
L'alcoolique
qui a le vin triste, c'est pitoyable
Vrai
je n'ai pas de compassion pour le laisser aller
Et
regarde, comme ça mord bien, comme c'est agressif
Comme
cela sait bien faire reproche, oublier ce qui a été fait
Quand
le vis à vis ne se laisse pas duper, ne participe pas à la comédie.
Debout
ma sœur !
Et
si tu décides que NON !
Oublie-moi,
nous ne vivons pas dans le même pays.
Ce n'est pas si facile de se débarrasser d'une dépendance chimique !
RépondreSupprimerPour la dépendance physique, il existe des traitements très efficaces, j'ai été témoin de cela.
RépondreSupprimerPour la dépendance psychologique, c'est très facile. C'est très facile parce que tous les instants sont là, ceux de la dépendance, ceux de la non-dépendance, on pourrait même se passer du travail, du chemin. Le seul empêchement est notre volonté de continuer sur cette lancée de la dépendance, de la plainte, de l'attachement au connu aussi pourri soit-il !