La
loi de causes à effets implique un développement linéaire, avec un
début et une fin. Les plus malins, ont raccordé les deux bouts pour
en faire un cercle, ils parlent de cycles, naissance et mort, l'un
meurt pour que l'autre naisse.
Tout
ça à plat, le monde en 2D. Sur le sol plat de la planète dessiner
des cercles qui se croisent, parallèles, des cercles bien à plat.
Aussitôt
que l'on rajoute une dimension ce modèle de la loi de cause à effet
ne tient plus la route.
Et
me direz-vous pourquoi rajouter une dimension ?
Tout
simplement parce que dans certains états de conscience, ils sont !
L'esprit
médusé par la beauté du spectacle, peu à peu apprend à se
repérer, à en dire quelque chose, même si ce n'est pas grand
chose.
Aussi,
c'est bien dans cette condition de connexion à sa propre relation au
monde, que la parole, que les mots peuvent transporter quelque chose
de cette perception plus profonde d'un réel infini (jamais fini).
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