mardi 21 février 2017

Cela nous dessert à tous les coups

Il faut quand même que quelque part, nous nous soyons trompés pour en arriver-là.
Rien que ces hommes politiques qui nous gouvernent ou prétendent à la gouvernance, pauvres petits hommes, malhonnêtes, menteurs, hypocrites. Et le quidam qui dit que NON, je ne changerai pas, de la viande je veux en manger, fermez les frontières qu'ils ne viennent pas nous bouffer nos alloc !

Ce n'est pas que les animaux cela soient gentils, gentils, non !
C'est autant de manque de respect les mémés et leurs chien-chien.
C'est : Que notre espèce prétend à tellement de grandeur, d'intelligence !
Alors je suis d'accord nous sommes "autres" sur cette planète, mais autre quoi  ?
Ce n'est même pas une question de souffrance, bien qu'il soit évident que ce que l'homme pratique sur cette planète est cause de beaucoup, énormément de souffrance surajoutée, de celle qui ne sert pas le vivant, mais le dessert.
Alors c'est quoi, ça ?

4 commentaires:

  1. http://nietzscheacademie.over-blog.com/2015/11/entre-vos-mains.html

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    1. Le surhumain Nietzschéen est tout le contraire d'une bête, expression malheureuse de Julius Evola. Ce qui est bien comme la bête, c'est l'homme ou l'humain que nous connaissons, c'est à dire presque tout le monde sur cette planète.
      j'ai suivi votre lien Conrad, et je suis tombé sur un article qui m'a induit cette petite réaction qui n'en n'est pas vraiment une, mais je vais parcourir un peu plus votre site qui ne peut me laisser indifférent, puisqu'il concerne notre ami Frédéric. :)
      Ron.

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    2. Un lien, oui, mais "Nietzsche Académie" n'est pas mon site.
      Un lien, disais-je, avec le billet de Miche.
      ""La foudre surhumaine est entre vos mains..."

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  2. Je ne suis pas une spécialiste de Nietzsche, autant le dire je ne l'ai jamais lu. De lui, je connais ceci :
    "Nietzsche s'effondre, le 3 janvier 1889, à Turin. Croisant une voiture dont le cocher fouette violemment le cheval, il s'approche de l'animal, enlace son encolure, éclate en sanglots, et interdit à quiconque d'approcher le cheval : Nietzsche (...) fut assez fou pour pleurer auprès d'un animal, sous le regard ou contre la joue d'un cheval que l'on frappait. Parfois je crois le voir prendre ce cheval pour témoin, et d'abord, pour le prendre à témoin de sa compassion, prendre sa tête dans ses mains."
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Biographie_de_Friedrich_Nietzsche
    Je comprends très bien cela...

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