samedi 25 février 2017

Découverte du matin, une vie, une œuvre, une femme.




 
L'amour, le travail, la prostitution, l'écriture, la morale, la révolte, un chemin de vie.
« J'écris pour me vomir telle qu'on m'a faite, j'écris pour me perpétuer telle qu'on m'a aimée et blessée, caressée et ressuscitée. »
Grisélidis Réal
Quand la victime se met debout, elle libère le bourreau. 





6 commentaires:

  1. "Certaines femmes nous apparaissaient comme des victimes du seul fait de leur situation sociale, sexuelle, économique, culturelle. Ce n’est que plus tard que nous avons abandonné ce concept et compris, notamment à la lecture de Grisélidis Réal – prostituée de profession et de conviction – que cette pensée victimaire assigne les femmes au pire sans prêter aucune attention aux ressources de chacune, aux décisions et aux initiatives individuelles leur permettant de se sortir d’une situation ou tout simplement de la vivre. La question n’est plus : est-ce une victime ? mais en quoi cette vie de femme concerne toutes les femmes, concerne la société tout entière17 ?"
    https://trans.revues.org/550

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  2. Oui, ça aussi c'est du travail, la mère au foyer, la prostitution...
    Un bel engagement pour la défense des prostitué(e)s, contre la traite des êtres humains, sans en passer par le conflit entre "talons plats et talons hauts". :)

    Un autre lien : https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/griselidis-real-ecrivain-peintre-et-prostituee

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  3. Oui, merci Anna, ce document est de qualité.

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  4. Réponses
    1. !!!
      Un autre document vidéo : https://youtu.be/OtugD5LOFZI

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Merci de vos commentaires