L'amour,
le travail, la prostitution, l'écriture, la morale, la révolte, un
chemin de vie.
«
J'écris
pour me vomir telle qu'on m'a faite, j'écris pour me perpétuer
telle qu'on m'a aimée et blessée, caressée et ressuscitée. »
Grisélidis
Réal
Quand
la victime se met debout, elle libère le bourreau.
https://youtu.be/_7Zx613GKHQ
RépondreSupprimer"Certaines femmes nous apparaissaient comme des victimes du seul fait de leur situation sociale, sexuelle, économique, culturelle. Ce n’est que plus tard que nous avons abandonné ce concept et compris, notamment à la lecture de Grisélidis Réal – prostituée de profession et de conviction – que cette pensée victimaire assigne les femmes au pire sans prêter aucune attention aux ressources de chacune, aux décisions et aux initiatives individuelles leur permettant de se sortir d’une situation ou tout simplement de la vivre. La question n’est plus : est-ce une victime ? mais en quoi cette vie de femme concerne toutes les femmes, concerne la société tout entière17 ?"
RépondreSupprimerhttps://trans.revues.org/550
Oui, ça aussi c'est du travail, la mère au foyer, la prostitution...
RépondreSupprimerUn bel engagement pour la défense des prostitué(e)s, contre la traite des êtres humains, sans en passer par le conflit entre "talons plats et talons hauts". :)
Un autre lien : https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/griselidis-real-ecrivain-peintre-et-prostituee
Oui, merci Anna, ce document est de qualité.
RépondreSupprimerMerci !
RépondreSupprimer!!!
SupprimerUn autre document vidéo : https://youtu.be/OtugD5LOFZI